PROJET DANSE URBAINE
Danse le cadre d'une conférence en avril 2018 sur la notion du commun et de la relation organisée à Paris par l'Université du Bien Commun, l'association AYYA au sein de laquelle je suis bénévole ,m'a demandé d'effectuer une dizaine de dessins pour illustrer notre intervention. Celle ci partait du principe que nous ne connaissons plus notre corps, que nous n'en avons plus conscience, alors qu'il est notre premier contact avec le monde, celui avec lequel on sent, voit, respire, touche. L'oublier un peu, c'est aussi oublier d'où l'on vient, c'est oublier les autres autour de nous, animaux, végétaux, humains. Prendre à nouveau conscience de notre corps, c'est prendre à nouveau conscience du monde qui nous entoure. De là pourrons nous peut-être mieux prendre soin du vivant.
Nous avons pris comme exemple un projet soutenu par l'association autour de la danse urbaine, Coeur à Corps Bruxelles.
Pourquoi la danse? Parce que l'outil essentiel de la danse, c'est le corps... et que la danse fait appel aux émotions, à nos ressentis, c'est un art qui demande à ce que l'on soit "vrai". La danse pour reconquérir son corps, toucher les autres, prendre conscience de son espace, de ce qui nous lie, nous transporte, La danse pour se libérer et se retrouver. Etablir de nouvelles connexions avec le vivant. Aller de l'avant!
Les dessins ci-dessous étaient projetés sur un écran tout au long de notre intervention, alternant entre un dessin représentant des corps immobiles, emmurés, avec des dessins illustrant la libération permise par la danse.
Si vous souhaitez en savoir plus sur ce projet, n'hésitez pas à jeter un coup d'oeil sur le site de Coeur à Corps Bruxelles ainsi que sur le site de l'association AYYA pour vous tenir informé de nos évènements!